Le robot-compagnon : un ami trop humain ?
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A lire sur le blog de l'afm, un post publié par Agnès Helme-Guizon sur la base d'un article récemment paru dans RAM : Goudey A. et Bonnin G. (2016), Un objet intelligent doit-il avoir l’air humain ? Etude de l’impact de l’anthropomorphisme d’un robot compagnon sur son acceptation, Recherche et Applications en Marketing, 31(2), pp. 3–22
On les a rêvés, fantasmés ou craints ; ils sont aujourd’hui une réalité matérielle et économique. Leur potentiel de croissance est énorme. Les objets intelligents (aspirateurs ou robots domestiques, voiture autonome) font petit à petit leur chemin dans la vie des consommateurs et promettent d’y occuper une place centrale d’ici les prochaines décennies. Ces nouveaux objets dits intelligents, qui brouillent la frontière traditionnelles entre l’humain et l’objet, doivent-il alors pour être adoptés, ressembler le plus possible aux humains ou au contraire se rapprocher au maximum de la machine ? Des études ont déjà été réalisées concernant l’anthropomorphisation des objets, mais très peu sur les objets intelligents alors qu’une donnée de taille intervient : l’intelligence est considérée comme une donnée exclusivement humaine.
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